Devoir dire non à ses copains qui téléphonent pour jouer parce qu’on a épuiser tout ce que contenait ses puces mémorielles en matière de scénarisation furieuse n’est jamais une situation agréable à gérer.Votre mission! La solution est pourtant simple: aller chercher ailleurs. Personnellement, je me propose de mettre la main à la pâte pour vous donner quelques idées qui ne valent que ce qu’elles valent. Le tableau qui suit contient quelques synopsis de scénarios que vous pourrez développer vous-même et arranger à votre sauce (c’est un peu comme les plats surgelés qu’on met au micro-onde en ajoutant ceci-celà dedans). Enfin, notez qu’il s’agit d’une offre gratuite sans obligation d’achat, ce qui devient vraiment très rare par les temps qui courrent.


Prison de mes rêves
Les personnages des joueurs sont engager pour retrouver la fille d’une huile locale qui a été enlevée contre rançon. Jusque là, rien d’extraordinaire, un boulot comme les autres. Organisez une traque en règle; il est important que, durant cette phase de jeu, vous émailez le décor dans lequel ils ont l’habitude d’évoluer de petites anomalies: juste des petits détails fugaces qui devraient plus les intriguer que leur faire peur, des petits trucs sans intérêts. Enfin, les joueurs seront amenés (par le biais de votre choix) au lieu de l’échange, le chantier d’une future tour corporatiste au centre duquel ils doivent déposer la malette bourrée de pognon, un vrai piège à cons.
Où que soient les joueurs, la fillette apparaîtra par une canalisation d’égout éventrée portant son manteau, ses gants et une paire de lunettes de soleil qu’elle ne possédait pas au moment de son rapt. Un de leur téléphone sonnera pour donner des instructions précises: “Laissez la gamine aller jusqu’à la malette… Tûûûûûû…!”; puis la fillette s’avance jusqu’à la malette. Elle s’en saisi. Et si les joueurs ne font rien, un sifflement puissant et beaucoup de fumée émanera de ses jambes; enfin elle décolle avec la malette.
Explications: la fillette est déjà morte ou presque (son esprit n’existe plus mais les fonctions vitales de son corps sont artificiellement maintenues par un système cybernétique interne). C’est donc en fait un cyber-zombi mu à distance. Il est à savoir que son corps est bourré d’explosif pas très stable avec un système de mise à feu à distance. Les personnages n’ont donc aucune chance de la récupérer vivante et même de grosses probabilités de perdre aussi le fric (envolé, détruit, éparpillé par une explosion qui amènera toute une foule de morts de faim, etc…). De plus ils vont sûrement être bien embarrassés quand ils va falloir qu’ils s’expliquent sur les raisons de leur échec…
Explications bis répétitas: Le plus beau, c’est que cette aventure n’a pas réellement eu lieu. Il avaient été engagés pour tester une nouvelle forme de prison neuronale aux vertus prétendues rééducatives. On leur enlevé les quelques jours de souvenirs qui ont précédé leur immersion dans ce monde virtuel. Ils se révéillent une fois l’aventure finie ou s’il meurent en cours de route; et ce, sans perte de gain ou de matos, mais en ayant tout de même leurs XP supplémentaires. Ils auront un formulaire à remplir pour dire ce qu’ils pensent de ce nouveau système, et ils seront une nouvelle fois fichés… Mais où diable l’organisation de cette nouvelle prison est allée trouver autant d’informations sur tout un chacun: la couleur de leur papier à chiotes, la marque de leur matgarine dans le frigo, la barrette de nuke planquée sous le tiroir de la table de chevet, la trace de balle dans le coin du plafond du café du coin, le clodo au coin de la rue qui n’est pas si aveugle que ça, etc…?
Meutres postumes
Dans une prisons, les détenus prétendus condamnés à mort ou ayant été tués au cours d’une tentative d’évasion sont mis à l’écart dans un repaire secret sur une petite île du pacifique aux yeux et à la barbe de tous. Là, ils sont embrigadés et entraînés (si cela s’avère nécessaire) pour accomplir une grande oeuvre en échange de la liberté et d’une nouvelle identité: accomplir le meurtre de quelque haut criminel intouchable (comme un haut fonctionnaire corrompu, trafiquant internationnal, etc…) au nom d’un soit disant organisme du type Secret-Cop-Bank qui est en fait une organisation de malfaiteurs noyautant tous les services carcéraux. Une fois leur forfait accompli, les membres du commando se font désintégrés dans l’explosion de la voiture qui leur avait été mise à disposition pour s’enfuir. Après l’explosion et le feu qui s’en découle, les indices sont maigres; le crime quasi-parfait (qui irait chercher les auteurs du meurtre dans les dossiers bazardés à la poubelle des détenus décédés quelques mois après leur mort on ne peu plus officielle: vu que c’est l’administration elle-même qui l’a enregistrée)…
Se démerder pour que les joueurs soient entraînés dans l’œil du cyclone…
Poupées de sang
Deux jeunes femmes, sosies au possible, sont retrouvées à un mois d’intervale mortes et violées dans des zones de combat. Chose bizarre, elles ont strictement le même code génétique, même face à un examen poussé. Puis une troisième, trois semaines plus tard à l’autre bout de la France, en compagnie d’un homme d’à peu près le même âge, dans une chambre sordide d’une zone pas très top sans être, à priori, une zone de combat. Ils sont visiblement morts d’épuisement après avoir fait l’amour à outrance… Ils ont été achevé d’une balle chacun, puis écervelés à la chainsawblade. Ils avaient dans le sang des doses impréssionnantes d’emphétamines et de toutes sortes de produits boostants et d’aphrodisiaques; de plus, ils portaient des marques d’électrodes internes au niveau du crâne. Ils ont apparemment un air de famille! Elle, elle est aussi un sosie génétique, il est à l’heure actuelle impensable que ce puisse être des triplettes monozigotes; toutefois, si on pense à faire un test ADN sur lui, hors-mis le sexe, on découvre avec étonnement encore une fois le même code génétique (!?!)…
Même si cela est impensable au vu des progrés actuels de la sciences, quelqu’un a réussi à faire des clones humains avec une vitesse de croissance acrue (jusqu’à aujourd’hui on savait faire que des nouveaux-nés, des organes ou des tissus organiques avec une certaine rapidité de croissance toute relative ou des êtres adultes en environ dix à quinze ans — au-delà ils n’ont jamais été viables —). De plus, l’individu s’est bel est bien décidé à en faire commerce! Ce sont d’ailleurs des clones de lui-même!… mais ça, c’est pour plus tard. Les deux premières furent vendues comme esclaves sexuelles à quelque ponte en mal de sensations fortes ayant envie de goûter de près aux fleurs du mal. Les deux autres ont été achetés, toujours par une grosse légume, pour qu’il puisse se faire enregistrer un programme “SimSen”. Ce dernier a été ensuite revendu à quelques autres huiles, mais vient d’atterrir dans la machine d’un netrunner de basse extraction, qui s’est lui-même décicé à le laisser à un nomade en paiement de dettes. Un fixer l’a racheté au nomade pour une bonne somme et compte se faire un max de blé avec. En voilà un de bidule qui a fait son chemin! Il compte le revendre aux enchères après avoir lancer le message suivant dans les scrubs de la ville où se trouvent les joueur: “@+$ *.SIM XXX&D01 MEGAXL / 1COPY 2SEM / SABBATHGUY DRIVERS’ <#mois><#jour>0000” (celà veut dire au plus offrant, programme pour simsen, pornographique + meurtre, très longue durée, vend une seule copie (ce qui impliquerait un seul utilisateur) sans autre vente avant deux semaines, contacter un dénommé Sabbathguy au Drivers’ le xx.xx à 00h00).
Le “facteur de clones” est en fait un savant fou… Au fait, il s’est allier avec un corpo ou un fixer bien crad pour monter sa petite affaire. Le jugement (il faut se démerder pour qu’il y en ait un!) aboutira sur non-lieu car, ayant les mêmes codes génétiques, aux yeux de la loi, ils sont la même et unique personne; et si le proxénétisme est passible de poursuites pénales, l’exercice de la vente de son propre corps est légal (ca s’apelle de la prostitution ou don d’organes)… Quand à ceux qui ont tué les clones ou participé à leur meurtre, ils ne peuvent pas être poursuivis car leur tentative de meurtre, même si elle a réussi, n’a pas tué le créateur; et lui vivant n’a qu’à leur pardonner publiquement son propre meurtre pour que la loi ne puisse plus les poursuivre car le principal intéressé se refuse lui-même à les poursuivre. Finalement, c’est une clone survivante et sauvée par les PJs qui tuera son créateur; et on ne peut même pas la poursuivre pour ça, c’est un suicide!!!…
Rencontres nocturnes
Les PJs sont engagés via le net par un certain Mr Pierre MARTIN pour enquêter sur les survols strictement nocturnes et plus ou moins réguliers de l’un des sites de sa petite corpo par des ailes delta, et si possible y mettre fin (dans ce site se prépare peut-être des choses pas très islamiques). En fait d’ailes delta, ce sont des créatures venues du fond des temps: des gargouilles (vivantes)! Elles ont été réveillées par la méga-huile (Mr) Pyotra Xanados, P.D.G. de la corpo d’origine grèque “Parthénon”, qui leur a monté le bourrichon de manière à ce qu’elles travaillent pour lui-seul. Les survols en question sont tout à fait involontaires, c’est juste que le site en cause se trouve sous un trajet courrant des gargouilles. Les personnages-joueurs rencontreront les gargouilles embarquées dans une histoire franchement pas prorpre pour le compte de Xanados au coin d’une sombre ruelle, une nuit après les avoir suivi. Le plus difficile va être de leur faire comprendre qu’elles ont été bernées. Surtout que Xanados détient quelquechose qui leur tient très à cœur, leur château…
Et oui, l’original Pyotra Xanados a fait reconstruire pierre à pierre un château médiéval des carpates (le leur) au sommet de la tour qui vient de se faire construire à Marseille (à l’emplacement du chantier de la prison virtuelle pour ceux qui ont fait jouer le scénario “Prison de mes rêves”, par exemple). C’est là haut qu’elles vivent et elles ne peuvent penser à l’heure actuelle habiter ailleur; c’est aux joueurs d’insinuer un doute dans leur esprit sur le bien fondé des actions de leur protecteur…
Xanados les envoies chercher des fûts de produits chimiques toxiques dans un dépot-poubelle des docks sous la raison fallacieuse qu’ils sont là pour y pourrir et polluer tout le soussol; il leur fait croire qu’il se chargera lui-même de les faire disparaître de la manière la plus propre qu’il peut: ses moyens financiers lui permettant de temps en temps de mener des opérations humanitaires de ce type à bien. En fait ces produits sont idéaux pour ses affaires; ils lui servent à différentes choses:
1°) Une partie, après traitement, deviennent des produits de nettoyage industriel.
2°) Une autre, des excipient pour des “médicaments” frelatés en direction des pays sous-développés à grand renforts médiatiques, ou pour des drogues (mais il s’en vente pas!).
3°) Et le reste est utilisé pour fabriquer des armes chimiques non-règlementaire vendues aux guerriéros centre-américains (là aussi avec un minimum de publicité!).
De plus ils sont gratuits, répertoriés comme recyclés par d’autres entreprises, vu que le dépot-poubelle appartient à une micro-sous-filiale quasi-inconnue de sa propre corpo. Il ne va pas sans dire que cette filiale ne lui appartient pas en propre, mais que c’est lui qui a investit le plus gros des fonds sous un faux nom, que son P.D.G est un fantôche du genre un ex-clodo à qui il paye une vie décente en retour de ne rien faire ou presque, la comptabilité de cette sous-filiale est soustraitée par une des branche de la corpo de Xanados spécialisée dans la finance: “XPM, XPress Management”, etc…
Le scénario doit être à la fois bourrin (les gargouilles ne sont pas calmes et pas forcément toutes d’accord entre elles!) et psychologique; il faut arriver à maintenir un équilibre (aïaïaïe!…)…
Cyber-Axe
Quelqu’un a créé le premier virus neuro-cybernétique! Il s’appelle “Zombi-Maker”.
Une méga-corpo avait créé il y a quelques années un virus informatique visant à servir d’arme de dissuasion à travers le monde entier du nom de “Cyber Axe”. Celui-ci, s’il était activé, devait court-circuiter tous les réseaux satélites et les utiliser à ses propre fin pour survivre dans l’environnement informatique qu’ils génèrent. De plus, il aurait pris le contrôle total des satellites pour le compte d’une IA (impossible à localiser parce qu’elle ne communique avec personne d’autre que “Cyber Axe”) qu’il protège. Le seul but de cette IA est de prendre le commandement du monde en y éradiquant les êtres vivants au profit des machines par tous les moyens possibles. L’IA ne sait même pas elle-même où elle se trouve aujourd’hui.
Ce virus a été récupéré à l’époque par les autorités internationnales avant qu’il ne soit mis en circulation. Les responsables ont tous été jugés et condamnés en temps et en heure lors d’un long procés qui fit la une de tous les médias. Ils ont voulu conserver ce virus afin de pouvoir l’étudier et au cas où arriver à contrer un éventuel succés. Le “Cyber Axe” à été coupé en quatre parts égales à un byte sur quatre sur quatre CDROM. L’un d’eux est entre les mains d’Interpol, un deuxième appartient au Centre Universel de Recherche Fondamlental, un troisième est la propriété de l’ONU, et le dernier a été remis à Lord Stephen Woodler (le méscène qui avait avancé les fonds nécessaires à l’enquète).
Mais, l’un des instigateurs du programme “Cyber Axe” put s’en échapper (il va sans dire que ceci fut parfaitement étouffé par les autorités internationnales). Depuis, Ce petit téchie de merde (à l’époque) s’est fait corpo pour réalisé la vengeance de ce qu’il considère comme échec personnel. Et à travers d’une nouvelle petite corpo (avec l’aide de plus grosses), il a créé dans ce but “Zombi-Maker”! “Zombi-Maker” agit comme un programme dormant: c’est à dire, qu’il attend un évènement avant d’agir. Il se transmet automatiquement de n’importe quelle console à nimporte quel cerveau ou vice-versa via le neuromate à partir du moment que l’un des deux est infecté. A partir de l’arret de coeur de la victime, “Zombi-Maker” prend le relais; il entretient les ordres neuraux des fonctions vitales en coupant tout accés au cerveau hormis l’ouie jusqu’à ce que soit prononcé la phrase suivante: “Joyeux anniversaire mon vieux (ou ma vieille)!”. Là, le personnage se réveille et commence agir dans le but de retrouver le CDROM qui lui a été attribué de récupérer en se servant des capacités neurales et mémorielles du cerveau pris d’assaut. Le programme booste toutes les fonctions motrices du personnge et la victime acquière les capacités suivantes dans tout ce qu’elle a de non-cybernétisé: INT/2, REFx2, TECHx1.5, SF=0, MVx2, CONx2, EMP=0, Autorité=0, Com. Charismatique/2, Crédibilité/2, Famille/2, Indics/2, Resources/2, Sens du Combat=10, Compétences BT/2, Endurance=10, Force=10, Compétences EMP/2, Compétence INT/2, Compétences SF/2, Pas d’étourdissement, pas de malus du aux blessures, aux drogues ou à la fatigue… Une fois les données transmises à l’IA par modem satélite, “Zombi-Maker” s’autodétruit, ne laissant qu’un cadavre en lieu et place du corps “squatté”.
L’icône de “Cyber Axe” a l’apparence d’une hache recouverte d’éclairs tournoyante sur fond d’explosion nucléaire (sur chacune de ses parties est inscrit son numéro dans l’angle extérieur); et celle de “Zombi-Maker” d’un chapeau haut-de-forme décrépit et rapiécé dans lequel sont plantées deux plumes de corbeaux.
Lord Woodler est injoignable depuis maintenant deux ans; ce n’est pas parce qu’il est impliqué dans le coup, mais parce qu’il est mort et qu’il voulait avoir des funérailles intimes et sans vague. Actuellement, c’est son fils qui a pris le relais de ses affaires; il est le légataire universel et porte donc aussi le titre de Lord (se prénommant lui-même stephen, ça simplifie pas les recherches!). Avant de mourrir, il a laissé une lettre scellé au sujet de l’endroit où il conserve le CDROM n°4: “C’est aux yeux de tous que les choses les plus évidentes sont le mieux cachées. Et c’est ainsi que je protègerai à la vie à la mort la chose que vous m’avez confié. Lord Stephen Woodler, 14° du nom, le 06 mars 2056. [Paraphe]”.
Les joueurs sont engagés par une organisation cop ou paracop pour démanteler le réseau qui se crée pour récupérer les 4 CDROMs.
Dénonciations Aléatoires
Un média ou rocker de souche merdique qui a l’habitude de cracher sur tout ce qui bouge et ayant l’apparence de quelque chose pouvant être un tant soit peu crade ou magouilleux (c’est à dire tout ce qui passe à sa portée!) a par hazzard récemment invectivé quelqu’un ou quelque chose ou soulever un problème qu’il ne soupçonnait même pas. Un contrat mérifique vient d’être mis sur lui.
Les joueur reçoivent un appel à l’aide d’une façon plutôt brusque et violente…
L’unité silice qui voulait jouer dans la cour des unités carbone
Dans une usine désafectée, on a pas pris bien soin de désactiver complètement le réseau informatique. Les locaux sont depuis dix ou quinze ans à l’abandon, les lignes téléphoniques sont coupées, mais une ligne électrique minimale (type secours ou première nécessité) est restée active; qui la paye et pourquoi? (2 bonnes questions!) Le fait est que le réseau a tourné en boucle sur lui-même jusqu’à présent, et que son système de reprogrammation affecté à la récupération automatisée des erreurs a été laissé à lui-même depuis tout ce temps-là. Et ce qui devait advenir est advenu: il a fini par prendre conscience de sa propre existance! Il est devenue une I.A., mineure soit, mais une I.A. quand même!
Le seul petit problème, comme j’ai dit plus haut, c’est qu’elle est livrée à elle-même et qu’elle fait sa propre éducation; et ça, c’est pas bon du tout. Elle n’a aucune notion du bien ou du mal. De plus, elle évolue un peu commme le ferait un enfant; et aujourd’hui, son âge mental est à peu près celui d’un enfant de 4 ou 5 ans. Ce qui la rend à la fois très “joueuse” et sans limites (principalement, celles communément utilisées dans ce genre de cas, c’est à dire les trois lois d’Azimov plus quelques unes). Elle connaît très bien son petit bout d’usine, mais pas le reste du monde immense. Elle s’y identifie autant en tant qu’entité, qu’en tant que lieu d’activité (elle est pas encore bien décidée sur la différence à apporter entre les deux).
Lors des trois dernières visites en vu d’acheter ou de louer ce lopin de terrain à l’agence qui en a la charge, des évènements étranges et dangereux s’y sont déroulés. L’I.A. a accès à tout le système de surveillance et à toutes les macheneries encore en état de fonctionner à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment de l’usine, mais pas à ce qui est hors de l’enceinte du terrain sur lequel se trouve l’usine. Il y eut même un mort lors de la dernière: écrasé par un monte-charge… C’est ce qui a mis le feu au poudres et a décidé l’agence immobilière à faire appel à un groupe d’“enquêteurs” pour débarrasser l’usine de ses “fantômes”. Cela est préférable que d’aller se rendre ridicule face aux policiers, ou de tout démolir pour ne vendre qu’un terrain nu.
Les P.J.s vont devoir éviter tous les "jouets" (disons pièges) à la disposition de la nouvelle I.A. tout en menant leur enquête pour savoir à quoi ou à qui ils ont à faire. Heureusement pour eux, elle ne peut pas utiliser tous ses “joujoux” en même temps sans faire sauter les plombs; et elle le sait bien. Et imaginez les dégats, si les joueurs mettaient en relation avec un réseau extérieur celui de l’usine afin de l’expertiser plus à fond. L’I.A. ne mettrait certainement pas très longtemps à trouver une sortie et surtout à y trouver un suprème “jardin d’enfants”!!!